Bons et meilleurs voeux, c’était il y a un peu plus de deux mois. Et depuis, c’est feu d’artifice 24/7 somme chantait la regretté Tina Turner ! De Kiev à Gaza, de Rangoon à Dakar, de Buenos-AIres à Valparaiso, quand ce ne sont pas les armes, ce sont les forces de la nature qui se déchainent, comme pour nous faire comprendre qu’il faudrait penser à lever le pied.

Pumpernickelle n’a pas été insensible à tous ces désordres qui nous assaillent, ce qui l’a amenée à laisser passer le temps. Mais, et ce n’est pas le moindre des paradoxes, alors qu’un certain abattement semblait poindre, voilà que les conversations en ville remettent une pièce dans la machine (malaise à la police municipale, démissions en chaîne dont le DGS…). Après l’épisode piteux du ratage de l’école de musique, tout le monde se rend compte qu’il ne se passe rien, en dehors de l’expédition des affaires courantes, quant la situation générale devrait inciter à faire travailler ses méninges.

Reprenant ses esprits, le rédacteur, succombant aux affectueuses sollicitations de ses amis s’est remis au travail, espérant à la fois distraire les lecteurs et encourager à construire ce second terme d’une véritable alternative qui remettrait Wissembourg au centre du jeu. Rêvons un peu !

Antoine Michon, directeur de publication de Pumpernickelle, 1 rue St Jean 67160 Wissembourg – pumpernickel@live.fr