Le nouveau numéro de La Topette arrive dans les kiosques du Maine-et-Loire. Une édition un peu spéciale pour nous, puisqu’il s’agit de notre vingtième numéro – déjà ! On espère qu’il vous plaira.
Vous pouvez déjà découvrir son sommaire ci-dessous. Nous commençons la livraison, qui se terminera ce mercredi, et les exemplaires pour les abonnés ont été déposés ce matin à la poste.
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Illustration de couverture par Aliénor Ouvrard.
FERMETURE DE LA SADEL : UN IMMENSE GÂCHIS ET UN DÉNI DE DÉMOCRATIE
Sous l’impulsion d’un businessman, le magasin de la Sadel et la librairie Contact, véritables institutions angevines, devraient tirer le rideau dans les prochaines semaines, menaçant 53 salariés. Une décision prise dans le dos de ces derniers alors qu’ils sont les propriétaires de leur entreprise coopérative.
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COMMENT L’IA VA PIQUER VOTRE BOULOT
À l’image de la robotisation, l’intelligence artificielle va-t-elle détruire des dizaines de milliers d’emplois ? C’est en tout cas le pari de nombreuses administrations dans le Maine-et-Loire, qui foncent tête baissée dans cette technologie sans parfois penser au sort des salariés.
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COMBRÉE, LE BÉTHARRAM DU SEGRÉEN
Des dizaines d’anciens élèves de l’Institution libre de Combrée, dans le Segréen, témoignent des sévices sexuels et physiques qu’ils ont endurés durant leur scolarisation dans les années 80 et 90. Si un agresseur précis est désigné, les victimes dénoncent un système plus global d’omerta, à l’image du scandale qui éclabousse le premier Ministre Bayrou.
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À ANGERS, L’EXTRÊME DROITE MENACE LA VIE ÉTUDIANTE
Les agressions et intimidations provenant de l’extrême droite menacent la vie étudiante angevine. Face à cette situation, l’Université et la mairie d’Angers marchent sur des oeufs.
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DES SALARIÉS EN DÉCALAGE HORAIRE
Travailler quand les autres dorment, tenter de dormir quand ils travaillent. Qu’ils soient en 2×8 ou de nuit, les horaires atypiques ne sont plus l’exception. Entre réalité économique, déséquilibres familiaux et dette de sommeil, rencontre avec des salariés en Anjou qui vivent à contretemps.
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IL Y A 50 ANS, DES ANGEVINES EN LUTTE POUR LE DROIT À L’IVG
Pour La Topette, des femmes et des hommes reviennent sur le combat pour le droit à l’avortement, auquel ils ont participé au début des années 70 à Angers. Une lutte âpre dans un département conservateur, mais victorieuse et à jamais gravée dans leur mémoire.
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INCESTE : LA FIN DU SECRET
Entre leurs 8 et 14 ans, Rebecca et son frère Quentin ont été abusés sexuellement, et même violé pour l’un, par leurs parents. Devenus adultes, ils ont brisé le silence de cette famille d’un bon milieu, a priori sans histoires, et porté l’affaire devant les tribunaux. Pour protéger leurs propres enfants, et tous les autres.
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CHU : MALAISE À L’UNITÉ DES ENFANTS EN DANGER
L’Unité d’accueil pédiatrique enfants en danger du CHU d’Angers propose un espace sécurisant pour auditionner les mineurs victimes de violences. Mais une nouvelle chefferie et des décisions récentes fragilisent son fonctionnement.
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REPORTAGE À VÉLO LE LONG DE LA LOIRE
La Topette a trimballé ses carnets le long de la Loire, des frontières du 44 jusqu’à Béhuard, où une querelle entre cathos tradis et habitants bohèmes fait rage. Sans oublier de passer par l’île de Chalonnes où le temps semble s’être arrêté.
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L’IRRADIÉ
À 19 ans, le marin Jean-Claude s’est retrouvé au coeur des essais de bombes nucléaires en Polynésie. Soixante ans après, le Chalonnais milite pour la paix et a perdu des camarades des suites de cancers probablement dus à l’irradiation.