La Revue Dessinée n°42 est en librairie ! Enfler encore et toujours jusqu’à n’en plus pouvoir et ne pas se rendre compte que les autres étouffent. Pour les fêtes de fin d’année, on vous propose un menu plein de voracité.
Au sommaire de ce numéro 42 :
« Le choc des cultures » : Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, la France accélère la modernisation de son agriculture et déploie une vaste opération de remembrement qui va susciter de très fortes contestations… et redessiner en profondeur nos campagnes.
Par Inès Léraud et Pierre Van Hove , les auteurs de la fameuse enquête Algues vertes, l’histoire interdite.
« Le nucléaire atomisé » : Ingénieurs et employés d’EDF ou sous-traitants spécialistes de la radioprotection, plusieurs d´entre eux témoignent et partagent leurs inquiétudes : faute d´entretien, les centrales nucléaires s´abîment. Pourtant, on ne cesse de rallonger leur durée de vie… Combien de temps les centrales tiendront-elles ?
Par Nolwenn Weiler et Ivan Brun.
« La méthode SOS » : Créé en 1984, le groupe SOS est devenu la première entreprise sociale d´Europe : protection de la jeunesse, santé, vieillesse, petite enfance… Une hégémonie qui soulève des questions. De nombreux témoins dénoncent une quête effrénée de rentabilité qui malmène les usagers comme les salariés.
Par Margot Hemmerich, Clémentine Méténier et Fabien Roché.
« Veni Vidi Vinci » : Sept ans après l’avoir racheté à l’État, le groupe Vinci a transformé l’aéroport Lyon-Saint-Exupéry en une machine à cash qui lui permet de reverser chaque année des dizaines de millions d´euros à ses actionnaires. Sa recette ? Sabrer dans les effectifs et… piocher dans la trésorerie constituée par la puissance publique.
Par Isabelle Jarjaille et Pauline Hébert.
« Un langage universel » : En France, le mouvement contre la réforme des retraites a remis en lumière les interpellations et violences contre les manifestants. Mais le gouvernement n’a rien inventé : lois draconiennes, maintien de l’ordre brutal et arrestations massives s´observent dans de nombreux pays.
Par Anne-Sophie Simpere et Silki.