Qui pensait qu’il serait atteint, ce cap improbable ? En tout cas, lorsqu’a commencé cette aventure éditoriale, en septembre 1995, sur un 4-pages, plus ou moins approximatif, rédigé à la hâte, avec l’aide des porte-paroles de l’opposition, accueilli par le silence méprisant de la municipalité d’alors, qui aurait parié sur un tel alignement de planètes ?

C’est donc en témoin que Pumpernickelle commente et “documente” comme on dit maintenant, la vie politique locales, assurant une sorte de veille démocratique quand les différents organes de presse, payante ou gratuite, se contentent d’assurer le service après-vente de la “kommunikassion” municipale.”