Ventoline est une créature mélomane, dilettante et polymorphe qui ne sort jamais de sa tanière à heure fixe. Aujourd’hui, nous sommes arrivées au cinquième épisode de ses aventures, non sans encombres mais avec beaucoup de joie réitérée et, comme toujours, à boire et à manger : manifeste anti « folklore du futur », exotisme de pacotille, reggae dancehall à Londres dans les années 80, blind test du Chair de Poule, flyers gothiques, disque-jockey concombre des mers, réédition de raretés country… et de plus en plus de formes dessinées qui parlent d’elles-mêmes, de sorte qu’on ne sait plus toujours bien à qui l’on a affaire. Un fanzine musical féministe qui s’intéresse aux images ? une revue graphique qui s’intéresse à la musique sans le point de vue des hommes ? un blog collectif sur papier journal ? un catalogue typographique déguisé ? à quoi bon répondre, Ventoline préfère citer Régine : «J’m’en fous / Des histoires, des légendes / Moi, tout c’que j’leur demande / C’est de ne pas trop m’en demander / J’m’en fous […] Pourtant y a pas besoin de m’appeler ! »
Avec les participations de Mara Krastina, Sofie Vandevoorde, le collectif La Crue, Sarah Vadé et Catherine Guiral, Sonia Terhzaz, Cassidy McGinley, Fanny Quément, Morgane Le Ferec, Cattle Records (Dagmar Binge), Victoria Palacios, Anouk Ricard, Félicité Landrivon.
Typos de couverture : Robbery (Advanced Entertainment Typefaces / d-e-a-l) + Sharpixxx (Loup Lopez)
Poster central dessiné par Nadja Meier et imprimé par Association Presse Offset (Paris)
Fanzine de 48 pages imprimé en 2000 exemplaires sur les presses rotatives de Rotochampagne (Chaumont)
Spécial merci à Sophie, Anouck, Eric & Gaspare pour leur aide précieuse
PRÉ-COMMANDES
ICI (envois progressifs à partir du 14.03)
Pour les retardataires il reste des stocks du numéro 3 et du numéro 4